1 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
1 tre l’Italie : la participation de la Suisse à la Société des Nations repose sur une équivoque que la Déclaration de Londres n’a nullement
2 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
2 mme nous avons trop souvent dénigré l’essai de la Société des Nations . Essayons au contraire de les améliorer, si nous les jugeons maladroi
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
3 comme nous avons trop souvent dénigré l’essai de Société des Nations . Essayons au contraire de les améliorer, si nous les jugeons maladroi
4 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
4 l’impuissance, on cite bien entendu l’échec de la Société des Nations , et l’on rappelle qu’à chaque conflit sérieux les nations se sont div
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
5 es en 1920, lors de l’entrée de la Suisse dans la Société des Nations .) Et l’on comprend enfin pour quelles raisons cette neutralité armée
6 ts. En 1919, Genève fut choisie comme siège de la Société des Nations et du Bureau international du travail. Ainsi, de même que les cantons
7 s. Lorsque la Suisse fut invitée à entrer dans la Société des Nations , elle se préoccupa tout d’abord de faire reconnaître que sa neutralit
8 t son statut de neutralité absolue. L’échec de la Société des Nations vint justifier, l’année suivante, cette prudence que des considératio
6 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
9 ge européen à Genève, dans le palais bâti pour la Société des Nations . Les conférences diplomatiques se multiplient dans notre pays neutre
7 1958, Articles divers (1957-1962). Pourquoi la guerre ? Un échange de lettres prophétique entre Einstein et Freud (avril 1958)
10 e pouvoir à quelque « plus vaste unité ». Mais la Société des Nations ne dispose pas d’une force à son échelle et ne provoque pas l’« ident
8 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
11 e l’Europe a bien connues depuis, aux temps de la Société des Nations , puis au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. Rossi remarquait d
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
12 n, Hugo, Renan et Coudenhove rejoint Briand et la Société des Nations , puis Churchill et le congrès de La Haye et les grands débats de notr
13 Deux-cents ans plus tard, en effet, la première Société des Nations était inaugurée à Genève. Mais il fallut attendre jusqu’à 1948, pour
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
14 il attaquera violemment) s’ouvre par un projet de Société des Nations et de citoyenneté mondiale : Grundriss der Völker- und Weltbürgerrech
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
15 Traités posèrent ainsi les bases de l’échec de la Société des Nations et du succès des entreprises totalitaires, d’où devait résulter la De
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
16 tagne, la Russie et l’Extrême-Orient une nouvelle Société des Nations , au sein de laquelle aucune partie du monde n’aurait plus à craindre
17 ires étrangères, décida en 1928 de soumettre à la Société des Nations un projet de Confédération européenne. Devenu président du Conseil en
18 prononça le 5 septembre devant l’assemblée de la Société des Nations à Genève, un discours retentissant, appelant les peuples de l’Europe
19 européenne, daté du 1er mai 1930 et présenté à la Société des Nations en septembre de la même année, fut rédigé par Alexis Léger, le plus p
13 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
20 fait conçu, rien qui ressemble même de loin à la Société des Nations ou aux Nations unies : ces organisations sont nées du droit des peupl
14 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
21 union fédérale européenne adressé par Briand à la Société des Nations en 1930, la galerie des auteurs de plans que nous allons parcourir n’
15 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
22 ni par rapport à l’Europe. Mais la création de la Société des Nations , puis celle des Nations unies posèrent des problèmes mondiaux : que s
16 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
23 Alexis Léger et présenté par Aristide Briand à la Société des Nations en septembre 1930 : la SDN oubliera même de l’étouffer, dans sa stupe
17 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
24 le européenne. Le texte est présenté en 1930 à la Société des Nations . On peut y lire : S’unir pour vivre et prospérer : telle est la stri
25 exis Léger vingt ans plus tôt à l’intention de la Société des Nations . Plutôt que l’Europe elle-même, ce qui naissait avec la CECA, c’était
18 1977, Articles divers (1974-1977). Robert Schuman (1886-1963) : l’homme de la frontière (1977)
26 égime d’union fédérale européenne » présenté à la Société des Nations en 1930. Robert Schuman fut réellement l’homme du Plan qui porte son
19 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
27 st président du Conseil, devant l’assemblée de la Société des Nations à Genève, Aristide Briand prononce un discours retentissant appelant
28 on fédérale européenne sera présenté en 1930 à la Société des Nations , rédigé par le directeur de cabinet de Briand, Alexis Léger (futur pr